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Le doute de Nathalie Marquay sur les causes de la mort de Jean-Pierre Pernaut
Nathalie Marquay, épouse de Jean-Pierre Pernaut décédé en mars 2022, estime que son mari n’est pas mort « du cancer ». Elle affirme avoir des doutes sur les causes réelles de sa mort. Dans une interview, elle explique qu’elle communique régulièrement avec son défunt mari et qu’elle a été témoin de phénomènes étranges, comme la télévision qui s’allume toute seule. Elle évoque le fait que Jean-Pierre Pernaut aurait eu deux cancers dans le passé mais qu’il n’en serait pas mort. Selon elle, son état de santé était guéri du cancer avant de se dégrader brusquement. Nathalie Marquay questionne également le lien entre la vaccination contre le Covid-19 et la radiothérapie, suggérant que les deux pourraient être responsables des AVC successifs qu’aurait subis le journaliste.
Des remarques controversées sur les causes de la mort
En octobre dernier, lors d’une soirée caritative, Nathalie Marquay avait déjà déclaré que le cancer n’était pas automatiquement mortel. Elle affirmait que Jean-Pierre Pernaut, qui avait déjà eu deux cancers, n’en était pas mort. Aujourd’hui, elle pousse plus loin sa réflexion en mettant en doute les causes réelles du décès de son mari. Selon elle, Jean-Pierre Pernaut était totalement guéri du cancer avant que son état de santé ne se détériore subitement. Elle s’interroge sur le rôle de la vaccination contre le Covid-19 et de la radiothérapie dans cette dégradation brutale, suggérant que les deux pourraient être liés aux AVC successifs qu’aurait subis le journaliste.
Le point de vue de l’ANSM sur les vaccins contre le Covid-19
En France, c’est l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) qui est responsable de la pharmacovigilance des vaccins contre le Covid-19. L’ANSM a reconnu l’efficacité de ces vaccins contre les formes graves de la maladie. En ce qui concerne les effets indésirables, aucun rôle potentiel du vaccin dans les décès enregistrés en France n’a été identifié. Des réactions indésirables peuvent toutefois survenir, notamment chez les personnes fragiles, mais elles restent rares et généralement sans gravité selon les autorités sanitaires.