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Sophie Bouillon, une ancienne journaliste à l’AFP
Sophie Bouillon, ancienne journaliste à l’AFP, est une Vésulienne qui a fondé une académie de formation pour de jeunes professionnels journalistes nigérians. Elle a apporté sa contribution au livre « Pour qui travaillent les journalistes ? », aux côtés d’autres lauréats du prix Albert-Londres.
Le livre « Pour qui travaillent les journalistes ? »
« Pour qui travaillent les journalistes ? » est un livre paru en octobre aux éditions l’Aube. Il rassemble les témoignages d’une vingtaine de journalistes lauréats du prix Albert-Londres qui évoquent « en toute sincérité la richesse du métier ». Sophie Bouillon, originaire de Vesoul, en fait partie et a contribué à cet ouvrage collectif
Le parcours de Sophie Bouillon
Sophie Bouillon, ancienne élève du lycée des Haberges à Vesoul, a remporté le prix Albert-Londres en 2009 pour son article intitulé « Bienvenue chez Mugabe ». Cet article, publié dans la revue 21, évoquait le retour dans son pays d’origine d’un jeune réfugié zimbabwéen. Elle l’a écrit alors qu’elle terminait ses études à l’École supérieure de journalisme de Lille.
Elle est également l’auteure du livre « Manuwa Street », paru en 2021. Dans cet ouvrage, elle raconte son quotidien à Lagos, une ville secouée par le coronavirus, où elle était basée. Son journal de confinement s’est transformé en un livre.
Des engagements multiples
En plus de sa carrière journalistique, Sophie Bouillon a d’autres engagements. Fille de Bernard Bouillon, président de l’antenne vésulienne de l’Université Ouverte de Franche-Comté, elle dirige le service de RFI en langue Hausa et a fondé une académie de formation pour de jeunes professionnels journalistes nigérians.
Les convictions de Sophie Bouillon
Dans le livre « Pour qui travaillent les journalistes ? », Sophie Bouillon exprime ses convictions journalistiques. Elle affirme que le rôle des médias est essentiel pour assurer la justice, l’égalité et le bon fonctionnement d’une démocratie. Elle montre l’importance du journalisme dans la dénonciation des exactions et dans la préservation de la vérité historique.
« Pour qui travaillent les journalistes » aux éditions de l’Aube.
160 pages 17,90 euros

