MédiasActu
    Facebook Twitter Instagram
    MédiasActuMédiasActu
    • TV
    • Radio
    • Presse
    • Médias Sociaux
    • Web & Tech
    A LA UNE :
    • JO Paris 2024 : Découvrez les policiers du Nord en plein match de basket dans une vidéo virale !
    • Scandale aux JO Paris 2024 : Un journaliste britannique banni après une remarque sexiste en plein direct sur Eurosport
    • France Bleu Roussillon : Leader Indiscutable des Pyrénées-Orientales, Chérie FM Monte en Puissance
    • Les JO de Paris 2024 : Une aubaine publicitaire pour les titans américains de la télévision !
    • Décryptage : Comment les Médias Canadiens S’émancipent de Facebook
    • Découvrez la Météo Pied-à-L’Oreille : Écoutez les Tendances Climatiques de ce 28 Juillet 2024 !
    • JO 2024 : La cérémonie d’ouverture captivé plus de 23 millions de téléspectateurs sur France 2
    • Une Tendance Minceur Inédite Inquiète les Experts: Une Alternative à Ozempic Déferle sur les Réseaux Sociaux
    mardi 13 mai 2025
    MédiasActu
    Home»Presse
    Presse

    Inquiétude grandissante dans les médias traditionnels : une évolution des secteurs de la télévision interdits suscite l’attention de la presse écrite et de la radio

    samedi 3 février 20243 Mins Read
    Partager l'article Facebook Twitter LinkedIn Reddit Telegram WhatsApp
    Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Reddit Telegram WhatsApp

    Sommaire :

    • Querelle autour des secteurs interdits de publicité à la télévision
      • Pierre Petillault déplore une décision déjà prise
    • Étude préoccupante sur le marché publicitaire

    Querelle autour des secteurs interdits de publicité à la télévision

    La querelle autour des secteurs interdits de publicité à la télévision – la grande distribution, le cinéma, l’édition littéraire – refait surface ces derniers jours. Une étude commandée par l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) et par le ministère de la culture ainsi que les consultations publiques qui en découlent ont suscité de vives réactions. Certains acteurs des médias de presse écrite et de radio reprochent notamment à l’autorité de régulation d’être partie prenante et de défendre les intérêts de l’audiovisuel.

    Pierre Petillault déplore une décision déjà prise

    « On a le sentiment que le match est déjà joué », déplore Pierre Petillault, directeur général de l’Alliance de la presse d’information générale (APIG), qui rassemble des quotidiens nationaux et régionaux ainsi que des hebdomadaires régionaux. Il critique l’ouverture d’une consultation publique sur une possible autorisation de la publicité pour l’édition littéraire à la télévision. De plus, une pérennisation de la publicité à la télévision pour le cinéma est étudiée, bien qu’aucune décision n’ait encore été annoncée. Les spots télé promouvant des films sont expérimentés depuis 2020 et jusqu’en avril 2024.

    A lire aussi :   Un géant des réseaux sociaux prêt à bousculer Instagram et à conquérir sa couronne

    A la mi-janvier, l’APIG avait déjà attiré l’attention sur ce sujet en transmettant une note blanche au ministère de la culture et à plusieurs parlementaires. La note soulignait les risques d’une dérégulation inconsidérée, notamment en ce qui concerne le financement de l’information et la part importante que représente la grande distribution dans les recettes publicitaires de la presse régionale (20 à 40%). Les radios indépendantes s’inquiètent également de l’impact d’une évolution éventuelle sur les médias locaux et sur l’information et la culture en général.

    Étude préoccupante sur le marché publicitaire

    L’étude commandée par l’Arcom et le ministère de la culture, réalisée par le cabinet PMP Strategy, est considérée comme un prétexte à un rééquilibrage en faveur de la télévision. En effet, elle prévoit qu’en 2030, près de deux tiers des recettes publicitaires seront captées par les acteurs du numérique (65%). En 2012, cette part n’était que de 25% et elle est passée à 52% dix ans plus tard. Quatre plateformes – Meta (Facebook, Instagram et WhatsApp), Alphabet (Google et YouTube), Amazon et ByteDance (TikTok) – pourraient ainsi totaliser 45% de ces recettes publicitaires. Parallèlement, les recettes publicitaires pourraient baisser de 1% pour la radio, de 1,4% pour la télévision et jusqu’à 5,4% pour la presse.

    A lire aussi :   La fin des concessions presse : une décision irresponsable qui menace l'avenir des journaux !

    Il vous reste 30% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

    Journaux Presse
    Alexandre M.
    • Website

    Je suis Alexandre, passionné par les médias. Je vous partage ma passion au travers de mes articles sur les sujets relatifs à tous les médias : TV, Radio, Presse, Internet...

    Sujets associés

    Médias Sociaux

    JO Paris 2024 : Découvrez les policiers du Nord en plein match de basket dans une vidéo virale !

    mardi 30 juillet 2024
    Presse

    Scandale aux JO Paris 2024 : Un journaliste britannique banni après une remarque sexiste en plein direct sur Eurosport

    mardi 30 juillet 2024
    Médias Sociaux

    Décryptage : Comment les Médias Canadiens S’émancipent de Facebook

    mardi 30 juillet 2024

    Le choix de la rédaction

    JO Paris 2024 : Découvrez les policiers du Nord en plein match de basket dans une vidéo virale !

    mardi 30 juillet 2024

    Scandale aux JO Paris 2024 : Un journaliste britannique banni après une remarque sexiste en plein direct sur Eurosport

    mardi 30 juillet 2024

    France Bleu Roussillon : Leader Indiscutable des Pyrénées-Orientales, Chérie FM Monte en Puissance

    mardi 30 juillet 2024

    Les JO de Paris 2024 : Une aubaine publicitaire pour les titans américains de la télévision !

    mardi 30 juillet 2024
    © 2025 MÉDIASACTU | Mentions légales | RGPD

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.