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La Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA) appelle à préserver le droit du citoyen à des contenus médiatiques vigilants et sûrs
La HACA a appelé à préserver le droit du citoyen à des contenus médiatiques vigilants et sûrs suite à l’affaire de fabrication de crime fictif et de diffusion de fausses informations lors d’une émission radiophonique. Le tribunal correctionnel de première instance à Casablanca a décidé de poursuivre Mohamed Bousfiha, animateur sur Hit Radio, ainsi que deux autres personnes impliquées dans cette affaire.
La HACA suit les développements de l’affaire
La HACA a publié un communiqué dans lequel elle indique avoir suivi les développements de l’affaire judiciaire impliquant des individus dans une affaire de «fabrication de crime fictif, outrage à un corps constitué et diffusion de fausses informations lors de la participation à une émission radio».
Les principes de la responsabilité des services de radio et télévision
La HACA rappelle certains principes encadrant les services de radio et télévision, notamment en ce qui concerne la responsabilité de ces médias dans la préservation de la sécurité des citoyens. Elle insiste sur le respect de l’honnêteté et de l’intégrité de l’information et des programmes, tant du côté des professionnels que lors de la collecte et de la diffusion des témoignages des citoyens.
Les principes d’autorégulation sont essentiels
La HACA souligne que les principes et mécanismes d’autorégulation, tels que définis par les cahiers des charges des opérateurs audiovisuels, ne sont pas un simple luxe réglementaire. Ils sont un moyen important pour promouvoir la culture de régulation dans ce domaine.
Appel à redoubler d’efforts
La HACA exhorte tous les opérateurs audiovisuels à redoubler d’efforts dans le domaine de la pratique médiatique responsable. Il est important de limiter l’impact des comportements nuisibles présents dans l’espace numérique non régulé, qui peuvent avoir de graves répercussions dans le monde réel.