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La réaction de la journaliste face aux critiques sur les réseaux sociaux
Politiciens roumains et décrédibilisation
La journaliste Cristina Cileacu a été violemment attaquée sur les réseaux sociaux suite à une séquence la montrant au sol. Elle déplore que des politiciens roumains utilisent cette séquence pour tenter de la décrédibiliser ou de remettre en question son travail. Sur Facebook, elle a répondu à cette attaque, expliquant qu’elle avait dû faire face à une attaque en direct et que, dans ces circonstances, elle et son équipe avaient pris la décision de s’allonger.
Les recommandations en cas d’alerte
Différentes attitudes selon le lieu
Les autorités donnent des directives précises en cas d’alerte avec le déclenchement d’une sirène. Selon des documents du Consulat général de France à Jérusalem, l’attitude à adopter varie en fonction du lieu où l’on se trouve. Si l’on est à l’extérieur, la recommandation est de rejoindre le bâtiment le plus proche. En revanche, si l’on est à découvert, il est préférable de chercher un abri naturel éventuel.
Se coucher sur le ventre et protéger sa tête
La nécessité de se mettre à l’abri est soulignée, avec la consigne de se coucher sur le ventre et de protéger sa tête avec les mains. Dans le cas de la journaliste roumaine, elle a suivi ce protocole en se mettant au sol à l’abri d’une voiture. Cette démarche est donc conforme aux instructions habituelles en pareille situation.
La population et la menace récurrente
Les habitants d’Ashkelon et l’adaptation à la situation
Le fait que certains cyclistes ne respectent pas ces recommandations peut sembler surprenant, mais dans une ville comme Ashkelon, qui est régulièrement la cible de tirs de roquettes, la population finit par s’habituer à la menace. Au fil du temps, certaines personnes peuvent donc ne plus suivre les consignes de sécurité avec autant de rigueur. Cristina Cileacu résume que la population répond à ces attaques de la manière qui lui semble appropriée, et elle-même fait le choix de la prudence dans la période actuelle.